Une fois, deux fois,
Le foulard de soie qui prît l'avion
Une année et puis l'autre
Les cheveux qu'il voulait et qui n'y changèrent rien
Les cheveux qu'Ella de soi et qui vont bien
Qu'elle regarde avec un grand sourire taquin
Aujourd'hui s'amuser
Se demander jusqu'où les gens sont rigolos
Jusqu'où les gens ne savent pas dire leur joie
Faire éclater des tambours
Bombe à retardement sans contours
Amour
Ne jamais se retenir
Dans les creux sonnent mes bosses
Ecrire
Rire
Rire
Et t'écrire.
Rire.
.
"Une fois, deux fois,
RépondreSupprimerLe foulard de soie qui prît l'avion"
au début, j'ai bien cru qu'il s'agissait du foulard de Bertille (cf : http://laviesecretedecharlemagnet.hautetfort.com/archive/2009/03/index.html)...
mais non... rien à voir...
Jolie natte qui cache une jolie nuque...
RépondreSupprimer@Charles, tout pareil, j'ai pensé au foulard de Bertille, mes premiers commentaires sur ton blog :)