Dans le ciel du soir hier
Il y avait trop de messages
Il y avait tant de signes
Je me suis accroupie et je n'ai plus baissé les yeux
Dans le ciel il y avait ma vie
Qui parcourait de long en large
Et toi, et toi, et moi, et nous et eux
Dans le ciel hier mon coeur était parti et puis il s'est accroupi aussi par terre à côté de moi
Et il m'a dit : regarde toi.
Les martinets sont aussi venus frôler ma mémoire, c'est vrai.
Ils étaient imposants, en groupe, décidés, fulgurants.
Il n'y avait rien à dire.
Alors j'ai pleuré, bien sûr.
C'était tellement.
Alors j'ai pleuré, bien sûr.
C'était tellement.
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le ciel nous a parlé comme souvent...
RépondreSupprimerEt on parle au ciel comme des oiseaux perdus.
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